Variation de la série d'art des masques avec des représentations de totems. L'idée de personnaliser des masques ou de les peindre n'est pas nouvelle dans le travail de Tarek, car il avait déjà créé certaines pièces dès 2010. Lors de son séjour au Cameroun en 2017, il a peint des murs dans des écoles pour le Ministère du Tourisme. Il a également partagé sa passion avec d'autres peintres camerounais qui ont participé à des fresques murales. Pendant son séjour, il a acquis de nombreux masques africains qui ont servi de sources d'inspiration pour son travail. De retour en France, il en a personnalisé certains et a peint une grande série de toiles intitulée "Masque(s)", qui ont été exposées à la Galerie Philippe Gelot (Paris 4e) et à la Galerie Kvasnevski (Paris 17e).
L'œuvre d'art est disponible en retrait à la Galerie BelArt à Bruxelles, en Belgique, ou peut être livrée à l'adresse de votre choix dans un délai de 2 à 3 semaines après confirmation de votre commande. L'œuvre d'art est assurée pendant le transport, donc il n'y a aucun risque. Origine : Belgique.
Totemik - Mask Art series
INFORMATIONS TECHNIQUES
Medium
Acrylique/Posca/Marker
Dimensions
54 x 73 x 2 cm
Cadre
Non cadré
Authenticité
Œuvre vendue avec un certificat d'authenticité
Type
Numéroté et limité à 1 exemplaire
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★ Œuvre originale
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⌬ Emballage sécurisé
À PROPOS DE L'ARTISTE
Tarek est bien connu pour son travail de graffiti ainsi que pour ses illustrations et bandes dessinées, qu'il imprègne de ses personnages modernes et attachants. L'artiste, dont le nom complet est Tarek Ben Yakhlef, est né à Paris en 1971. Il a grandi au milieu de la scène artistique urbaine et a fait ses débuts dans le monde du graffiti à un jeune âge, devenant un protagoniste actif de cette communauté artistique.
Formé en histoire et en histoire de l'art à la Sorbonne, et passionné par le street art, il a publié à seulement 20 ans "Paris Tonkar", le premier livre dédié au graffiti à avoir jamais été publié en Europe. Cette publication a été la première à donner une voix aux tagueurs et aux graffeurs, mentionnant leurs motivations, leurs approches artistiques ainsi que la réception du public face à ce nouveau phénomène culturel.
L'appareil photo a rapidement remplacé les aérosols de Tarek, car il est devenu peu à peu un témoin privilégié de l'art urbain français. Parallèlement, l'artiste a développé son art sur d'autres supports, tels que la bande dessinée, un domaine dans lequel il a connu un grand succès. Cependant, les bombes de peinture n'étaient jamais loin : elles lui permettaient toujours de laisser une trace de son passage dans ce monde sur les murs de la ville.
